mercredi 13 mai 2015

Elles... non, elle

Toutes ces femmes, attendrissantes, charmantes à qui l’on voudrait dire des mots doux, que l’on voudrait embrasser, serrer contre soi…

Mais il ne faut en retenir qu’une. Pourquoi ? Parce qu’elles le veulent.


Je crois que je suis à nouveau en plein questionnement. Le polyamour (pas le libertinage, ça n’a rien à voir) me semble être une voie intéressante quand on en a fini avec la famille « papa, maman et leurs enfants » et qu’on n’y retournera pas.

Annick la comptable, Edith la vendeuse, Tiphaine l’orthoptiste, Christiane la sculpteuse… je voudrais garder celles-là. Toutes différentes, toutes avec des qualités (et des défauts) différents. J’aime échanger avec elles. Leurs sensibilités, leurs goûts, leurs mots, leurs gestes, leurs envies, leurs craintes, tous ces petits morceaux d’elles, toutes leurs facettes, il va falloir les oublier.

N’en garder qu’une...

1 commentaire: