samedi 31 janvier 2009

Manque d’indulgence.

Deux anecdotes pour illustration.

Ma fille nouvellement majeure c’est encore fait insulter par un groupe de jeunes "voyous". Elle portait une jupe qui arrivait juste au dessus du genou. Je vous fais cadeau des insultes. Je vous fais cadeau des détails qui pourraient être mal interprétés, sauf de l’age du groupe, environ 14 ans.
Ma fille n’a pas la tenue de ce qu’on pourrait appeler (très injustement) un « appel au viol » (comme si une tenue devait justifier un acte ignoble). Elle montre ses genoux et ses chevilles.
Je manque d’indulgence pour ces troupeaux de voyous, de plus en plus… Des claques à donner, des claques, rien de des claques. Les mots n’ont aucune portée…

J’ai appris une incroyable histoire de c.. au bureau. Pardon, une histoire « d’amour ». Un collègue marié, avec de jeunes enfants, une collègue mariée, avec de jeunes enfants. Classique (malheureusement), pas de quoi s'étonner. Liaison qui a duré un an et demi. Toujours rine d'exceptionnel. Moins classique : le mari trompé est aussi un collègue… Il devient fou, je ne savais pas pourquoi. Maintenant je sais : il croise tous les jours sa femme et son ancien amant au bureau…
Et la femme trompée (qui ne travaille pas au même endroit), je l’ai rencontrée lors d’une des grandes messes du groupe. J’ai trouvé qu’elle n’était pas équilibrée… je comprends maintenant. Il y avait à la grande messe son mari et son ancienne maîtresse.
Et de ce couple d’amants, pas un n’a démissionné. C’est sans doute le mari trompé qui au mieux va finir par démissionner (il l’a fait une fois mais on lui a demandé de retirer sa démission) et au pire mal finir. Pas d’indulgence : virer les…

lundi 26 janvier 2009

Cuisine à coucher

Personne n’aurait l’idée d’installer une chambre dans une cuisine.
Et bien nous, si.

Nous l’avons fait. Le divorce étant prononcé entre les 2 grandes (toutes les deux majeures dans un peu moins d’une heure…), il a fallu trouver de la place.

Future-majeure a donc établi ses quartiers dans la « cuisine d’été »…

Nous vivons des aventures formidables…

dimanche 25 janvier 2009

Regonflage…

Je sais c’est rapide.

Hier, en faisant les courses, j’expliquais à ma jeune fille comment générer du positif à partir d’un événement négatif. Exemple : un 3 en maths (juste un exemple). Ça reste un 3 en math, on est d’accord. Ce qui est positif, déjà, c’est que ça te contrarie. Ce qui va te pousser à essayer de comprendre ce qui c'est passé pour que ça n’arrive plus. Du coup, tu changes de méthode de travail et tu deviens plus efficace. Tu comprends ? Sans cette mauvaise note (c’est une mauvaise note on est d’accord, ok ?) tu n’aurais pas changé de méthode et tu ne serais pas devenue plus efficace ? Compris ?

Alors forcément, il faut bien que j’applique… L’ambiance est mauvaise, la guerre est déclarée entre les 2 grandes et du coup tout le monde baisse la tête. Le bon côté, c’est que tout le monde baisse la tête…non, non, c’est pas ça !! Le bon côté, c’est que bientôt, tous les enfants auront leur propre chambre. Le bon côté, c’est que nous avons une solution qui va résoudre au moins une partie des problèmes. Le bon côté, c’est que ma-dame est allée parler avec future-majeure, pour la consoler, ce qui prouve un lien.

En fait, c’est un truc incroyable que cette vie en communauté. C’est presque contre nature. Aujourd’hui, alors que tout se désagrège ou explose, nous tentons le contraire.

J’ai vu un reportage sur Auroville il y a peu de temps. Je ne porte aucun jugement, ce n’est pas le propos. J’ai juste été étonné que cette « expérience » dure depuis 1968. 28 février 1968… 41 ans. Ce qui place la barre très haut…

Gestion de crise

Après un week-end chacun de notre côté, il était évident que la reprise de la communauté serait difficile.

Ce fut le cas.

Il faut dire que j’en ai profité pour pousser le lapin hors du salon. Il trônait dans sa cage sur la table du salon… pas sa place.

Ensuite, à table (celle de la cuisine, pas celle du salon), gros clash entre mes deux aînées. Jeté de serviette, claquage de porte, larmes, insultes, spectacle intégral. On se sent à l’aise. J’ai pensé à sombrer dans l’alcoolisme ou à avoir un accident de voiture. Je n’ai pas eu le temps. Mais j’y réfléchis.

Conséquence, demain nous vidons la « salle informatique » pour y installer future majeure. Elle partageait une chambre avec grande-majeure. Nous restera à répartir les bureaux et PC dans le reste de la maison.

(Penser à acheter du whisky et à ménager ma-dame)

vendredi 23 janvier 2009

En vrac (pour changer…)

Anniversaire de grande-majeure avec les 2 familles recomposées, celle de sa mère et la mienne. Ambiance agréable. Je pense qu’un observateur extérieur n’aurait rien vu de particulier. Pas non plus une réunion d’amis, mais rien qui ne laisse entrevoir les anciennes rancœurs, les anciennes amours. Des adultes, 2 couples autour d’enfants, partageant un repas… et un gâteau.

Ce qui est merveilleux avec les enfants c’est que 10 minutes à peine après que vous les ayez récupérer, heureux, soulagé de retrouver votre « chair » (si, un homme peut dire ça aussi), ils se débrouillent pour vous faire changer d’humeur. Et vous vous dites qu’une semaine comme cela va être dure… Sans doute nous font-ils payer quelque chose, inconsciemment du reste.

Demain, je vais tenter de gérer un troupeau de jeunes préados du genre féminin.
Avant cela, le fiston aura été déposé au caté (oui, c’est terriblement "vieille France"...) et les courses auront été faites.

Donc, Miss préado a invité des copines pour son anniversaire (les anniversaires des filles sont tous le même mois chez nous, c’est plus simple). Il va falloir recevoir les parents, offrir le café, du thé (en fait, ça boit quoi une maman de pré-ado quand ça dépose sa peste, pardon, sa fille ? Un petit coup de gin pour fêter sa liberté retrouvée ?). Quoi que ne voyant pas ma-dame qui est chez sa mère (dit comme ça, on imagine le pire…non, elle va voir sa sœur en fait…) les accueillir, je doute qu’elles ne s’aventurent dans une maison gardée par un homme. On ne sait jamais. Ensuite, je tenterai de m’assurer que tout se passe bien, en essayant de ne pas être trop présent. Et c’est sans doute avec soulagement que je les verrai partir, les unes après les autres. Mais je n’aurai pas pour autant mériter un peu de repos (pour être honnête, ce n'est pas le repos que je cherche, ce sont des périodes sans rien à faire, sans rien de prédéfini) car fiston aura quitté ces activités religieuses par aller à une boum chez une copine (une fille pote en fait. C’est comme un pote sauf que ça rote moins) et à 23h00, il faudra aller le récupérer.

La vie est curieuse et surprenante. Cette semaine a été l’occasion de découvrir une nouvelle « amie » (j’ose le terme). C’est assez rare en fait de rencontrer des personnes dont la sensibilité est proche de la vôtre. Notre vie d’adulte « actif » nous ménage assez peu de surprises en général.

Samedi soir, je serai seul avec mes enfants (à partir de 23h00 d’accord mais tout de même, c’est mieux que rien). Finalement, j’en avais très envie...

lundi 19 janvier 2009

Overgosse

Deux semaines que nous avons les filles de ma-dame. C’est vrai qu’il est dur de vivre avec les enfants des autres. Quand en plus vos enfants ne sont pas là, c’est encore un peu plus difficile. Mais il ne faut pas être injuste et ne pas faire subir aux autres – surtout quand ils n’en sont pas responsables – les frustrations et contrariétés que l’on éprouve.

Mais les caprices étaient fatigants. Et j’ai fait quelques remarques. Par pour « élever » mais pour marquer mon territoire, mon espace. Et les cris, les caprices et les chouinasseries (non, ça n’existe pas), je n’en veux pas juste à côté de moi. Alors, le silence se fait. Un temps. Ce qui prouve que mes remarques ne sont pas traumatisantes.

Je pars finalement à Paris demain. Et les filles de ma-dame seront à nouveau là demain soir. Ce soir était la seule soirée depuis 2 semaines, où nous avons pu être tous les deux. Mais en effet, les couples « normaux » des familles « normales » n’ont pas cette possibilité de pouvoir passer des moments seuls comme les couples des familles recomposées l’ont en théorie. Mais les couples normaux ne vivent pas avec les enfants des autres.

mardi 13 janvier 2009

le temps qui passe

Je n’ai même pas le temps de répondre aux messages. Je suis désolé et prie les intéressés de m’excuser.

Voilà une semaine de passée, c’est incroyable. Quant au week-end, je n’ose même pas l’évoquer tant il fut bref.

Grande-majeure a eu un certificat médical (les maux de la tête sont comme ceux du corps, c’est une chance) qui va lui permettre – normalement – de repasser les partiels manqués, en fin d’année scolaire. Deux fois plus de travail, c’est ce qui l’attend, mais c’est la seule solution pour ne pas jeter par-dessus bord deux années d’études (qui bien qu’elles ne lui « donnent » rien pour l’instant, n’en sont pas moins utiles pour la suite). Il serait tellement doux pour des parents qu’une enfant brillante – ne m’en voulez pas reste adoré de progéniture de faire cette confidence, mais vous conviendrez, que votre sœur à des facilités – fasse un semblant d’études longues. Vanité, vanité, vanité.

De la semaine, je ne me souviens pas grand-chose. Distribution de boites de chocolats au bureau (6 boites, quand je dis que nous sommes entourés de nombreuses collaboratrices féminines…), deux dossiers urgents, sans doute des discussions sur mon futur poste (le « poste-Ness », un peu comme le loch Ness…), des réunions, le train-train d’une année nouvelle mais qui ressemble déjà terriblement à celle qui vient de finir. Pas tout à fait malgré tout. Nous sommes « décalés » avec grande-majeure, elle n’est pas là en même temps que le reste de la tribu. La cohabitation c’est bien passée avec ma-dame et nos petites soirées à trois étaient très agréables. Nous avons même usé du tableau repas devant la télé, sublime moment de beaufisation (je préfère "beaufardisation" qui tient de "beauf" et "flemmard"), savouré sans fausse honte (quelle bonheur de pouvoir entendre toutes les âneries qui sont distillées sans que le moindre cri n’en fasse perdre l’ampleur et le mécanisme).

Le week-end fut bref car en bon consommateur, docile et discipliné, j’ai passé l’essentiel de ma journée de samedi à acheter, de quoi manger, de quoi bricoler et de quoi réparer. Le planning que j’avais de façon fort irréaliste imaginé, n’a pas été respecté. Les étagères devant supporter la bibliothèque de livres d’enfants et d’adolescents et les jeux de société ayant décidé de se décrocher progressivement, lentement, sournoisement mais surement du mur où elle était sensée être fixée, il a bien fallu trouver une autre solution. Et le dimanche – et je m’empresse de rajouter fort heureusement – les magasins de bricolage sont fermés. Je me suis donc lancé dans la fabrication de « meubles » - c’est un bien grand mot pour un assemblage de planches – solides, sans finesse et donc moins sournois.

Nous avons attaqué la semaine de garde (c’est tout de même un drôle de terme…). J’avais oublié la douleur du réveil à 6h15 et la course matinale, l’œil sur la montre et sur les enfants, le trajet bien défini, du lycée au collège en passant par l’école. Mais, changement dans notre routine (un peu tout de même) bien huilée, le garçon est souffrant et est resté chez sa « maman » hier soir. Profite mon bonhomme de cette maman, je ne t’en veux pas, comme je te l’ai dit, je ne suis pas jaloux. Et puis il y a ta jeune sœur pour laquelle je suis toujours un héro. A chacun sa période de gloire, c’est plus simple ainsi, merci mon fils d’œuvrer pour la paix des ménages décomposés !

Je reprends ce message après quelques heures d’interruption… depuis, nous sommes sept (non, je ne compte pas les animaux qui ne sont d’ailleurs pas très bien représentés ici). J’ai perdu le fil et je ne vais pas prendre le risque de me répéter. La semaine va s’écouler et un nouveau week-end arriver. Mais d’ici là j’aurai peut-être récupéré mon fils, j’aurai eu une conférence téléphonique pour me présenter mon nouveau poste, fait un peu de sport le midi, rencontré un candidat à l’embauche, fait une intervention dans une faculté, assisté à 4 ou 5 réunions, envoyé 2 rapports urgents, regardé les pinceaux et autres outils, constaté – à nouveau – que le plafond du salon va nécessiter un nombre incroyable d’heures de travail, fait quelques projets d’aménagement des pièces du bas, dormi, mangé et peut-être, posté un nouveau message…

mardi 6 janvier 2009

Patience

On avance.
Problème de grande majeure identifié (mais pas résolu, il ne faut pas exagérer non plus).

Tout change si vite mais à la fin de cette journée nous avons :
grande-majeure qui a identifié son problème (avec une aide extérieure) et qui a reconnu que la fuite n’était pas une bonne solution. Elle « devrait » retourner à la fac. On verra comment faire pour les partiels manqués (une chose à la fois s’il vous plait !) ;
dialogue entre mère et fille repris (j’avais peut-être manqué oublié de mentionner cette étape…) ;
ma-dame et grande-majeure qui cohabitent plutôt très bien ;
mère de grande-majeure (ex-femme donc) pas agressive, constructive et efficace ;
beau-père et grande-majeure qui vont réessayer la cohabitation la semaine prochaine.

Mais demain est un autre jour (il faut d’ailleurs que je ne tarde pas si je ne veux pas modifier cette phrase en « tout à l’heure est un autre moment »).

Nous avons décidé de décaler les semaines de grande-majeure et de ses frères et sœurs. Mieux pour nous mais pour elle aussi.

En ce qui me concerne (sujet qui m’intéresse aussi comme vous le savez…), je pense que je vais m’évader (fuir ?) 2 jours la semaine prochaine sur Paris, la grande et belle capitale. Finalement, tous les déplacements me permettent de prendre un peu de recul et de recharger mes batteries. La vie en dehors du doux foyer serait-elle plus reposante ? Non, je n’ose même pas y réfléchir !!

lundi 5 janvier 2009

La fac suite et... fin

Absente aux partiels.
Mais on ne baisse pas les bras. Beaucoup de choses à comprendre et à résoudre.

P.S. : Je repasse plus tard pour répondre, merci.

samedi 3 janvier 2009

la fac

Et bien grande-majeure ne veut plus aller à la fac et ne compte pas se présenter aux partiels lundi. Il reste deux jours pour la décider (la décider à aller se planter, soyons réalistes).

Le plus étonnant : je n'ai même pas peur ! On fera ce que l'on pourra. Mais si elle ne se présente pas, l'année sera perdue. Ennuyeux mais pas dramatique. Et si "plus à la fac", comment l'occuper ? L'oisiveté étant la mère de toutes les déprimes, je cherche...

Finalement, il est sympa ce lapin. Parle pas, demande rien, mange ce qu'on lui donne...

vendredi 2 janvier 2009

le "qonar"* fatigue

Semaine d’insomnies. Cette nuit réveil à 2h30. J’ai regardé les heures défiler jusqu’à 6h20. Ensuite j’ai sombré dans un état semi comateux jusqu’à 11h00. Comme nous avions des amis à la maison, c’était à la limite (dépassée) de l’impolitesse. Et comme hier c’était la même chose, j’ai un peu honte. Mais il m’a fallu des efforts incroyables pour m’arracher du lit. Quel meilleur endroit pour fuir ?

Grande-majeure n’est pas allée chez sa mère ce soir. C’est à nouveau la guerre avec son beau-père. Ces deux la ne se supportent vraiment pas.
Il est venu chez nous en me disant qu’il avait du mal avec les enfants un jour où ils étaient tous chez leur mère et où je devais les récupérer (le 30). J’ai improvisé une réunion de famille chez leur mère avec eux mais sans leur beau-père (j'ai profité de l'occasion, en passant les prendre). De quoi je me mêle… du bien-être de mes enfants tout simplement.

Nous étions donc tous les 6, les enfants et les parents (j'oubliais la petite demi-soeur qui tournait autour de nous sans trop bien comprendre ce qui se passait. pauvre petite future névrosée). J’ai pu voir que mon ex-femme – leur mère – est toujours aussi paumée. Intelligente elle l’est. Elle donnerait tout pour ses enfants, pas de doute. Mais elle raconte des « trucs énormes ». Elle est inconsciente et égoïste (mon point de vue). Il lui faudrait un psy (mon point de vue depuis des années). Son couple va mal, ça se sent. Elle se confie aux enfants – inconsciente vous dis-je !! – en leur disant qu’elle avait imagé que son nouveau mari était « plus gentil » (qu’il n’est). Qu’elle reste car elle ne veut pas lui laisser un week-end sur deux la dernière née. Mais que s’il le faut vraiment, elle partira et prendra un appartement. J’en passe et des meilleures. J’oubliais, elle leur a laissé comprendre qu’il avait failli la tromper (elle n' a pas dit ça pendant cette réunion improvisée, non, mais un soir ou elle pleurait) !

Evidemment, je ne comprends rien, bien sûr. Mais la faible lueur qui éclaire encore ma cervelle alcoolisée de fin d’année décrypte le message suivant :
- « je ne le quitte pas à cause de votre demi-sœur » : sous-entendu, elle compte plus que vous dans mes décisions ;
- « je voudrais le quitter car je me suis trompée » : sous-entendu, j’ai foutu notre famille par terre pour une erreur ;
- « si vraiment vous voulez que je parte, je le ferai tout de même » : sous-entendu, c’est vous qui prenez la décision. Si ce n’est pas mettre les enfants sous pression, c’est quoi ??
- « il a voulu ou aurait pu me tromper » : mais comment pourraient-ils le respecter ?

Je répète : comment mes aînées pourraient apprécier ce type qui semble être la cause des pleurs de leur mère et qui, à leurs yeux, est responsable de l’éclatement de notre famille ?

Mais bien sûr, je ne comprends rien et j’interprète mal. Je pourrais ajouter cette phrase : « si je meurs d’un cancer de la gorge, je ne pourrai m’en prendre qu’à moi » (elle fume à nouveau « très » régulièrement). Beau message de force, courage et espoir pour les enfants…

Et moi l’égoïste, je prends sur moi pour ne rien leur dire de mon analyse, mais j'ai mis en garde leur mère sur les propos et l’attitude qu’elle avait devant eux (aujourd'hui, par téléphone, après que grande majeure ait dit ne pas vouloir y aller). J’ai mal interprété ses propos bien sûr (ce fut sa réponse au téléphone). Elle fera ce qu’elle voudra de mon conseil d’aller parler de tout cela avec une personne « extérieure » (c'est-à-dire qu’elle n’en fera rien !).

Les vacances sont déjà une épreuve pour notre communauté, j’en ai eu à nouveau la preuve. Madame n’est pas très résistante et déprime très vite et est très susceptible quand elle est fatiguée. Alors ajouter ces complications était un luxe dont nous nous serions passés.

Alors, franchement, si on me demandait mon avis – mais personne ne le fait et ça tombe bien – je dirais : réfléchissez avant de divorcer et analysez toutes solution alternative (je me demande même s’il ne vaut pas mieux un couple libre…). Et éviter surtout la famille recomposée pour vous et votre ancien conjoint. Sinon, préservatifs et pilules vous permettront d’agir comme des idiots sans entraîner des âmes innocentes dans vos erreurs et errements !!

Beau message d’espoir pour cette nouvelle année. Mais je le nuance un peu en disant que comme nous nous sommes lancés dans la recomposition, nous continuons !!! Et avec le sourire s’il vous plait.

Et puis, même une mutation sur une île déserte ne résoudrait rien !

J’oubliais : bonne année, bonne santé, qu’elle vous apporte blablabla…

*pour éviter que les moteurs de recherche ne renvoient cette page comme résultat du mot écrit correctement !