Finalement, c'est quand on se retourne que l'on se rend compte que la route que l'on suivait n'existe plus.
Il n'y a qu'un grand vide.
Tout a disparu.
Un précipice, une falaise qui s'écroule peu à peu,à chaque pas franchit.
Pas d'autre choix, impossible de faire demi-tour, il faut avancer, encore et toujours.
En sachant qu'un jour, on aura pas le temps de faire un pas de plus avant que le sol ne se dérobe... et l'on rejoindra les miettes que faisaient notre vie, au fond du précipice.
Il fait beau, je vais poser un pied devant l'autre dehors...
Meuh non, tout n'a pas disparu !!
RépondreSupprimer4 enfants, quel formidable usage de ton temps Padre !!!
Il t'en faut un cinquième pour en prendre conscience ?
;p
Man
Oui Madame. C'est vrai. Ce que je voulais dire, c'est que tout change. Les gens et les lieux. Les enfants ont grandi et les petits visages des photos n'existent plus. C'est juste un constat. "Le passé n'existe plus"... Tu cannais bien évidemment "la Bohême" de Charles...
SupprimerLPC