En revenant ici, je redécouvre ce qui m'y déplaisait : La dépendance.
La dépendance aux commentaires.
Au début on écrit pour soi. On écrit "juste" pour soi.
Et puis, les commentaires arrivent. C'est un échange. On découvre des points de vue différents ou la contraire, que l'on est pas seul, que d'autres ressentent la même chose, vive ou on vécu la même chose.
Et puis petit à petit on attend ces commentaires car ils complètent ce que l'on a écrit. Je pense à un écho. On crie et on attend l'écho. ça donne une échelle. Comme un caillou que l'on jette dans un puits. S'il ne rencontre rien, on est un peu perdu.
Et je ne parle pas des liens que l'on crée. Des liens parfois très émouvants. Parfois très perturbants.
Créer des liens, c'est forcément perturbant. Ca met en danger mais ça nous rappelle que l'on est encore en vie Monsieur!
RépondreSupprimerOk Madame. On est encore en vie !
SupprimerPour info PADRE du Vendredi au Lundi soir les amis laissent peu de commentaires week-end et famille obligent :-)
RépondreSupprimerEt puis ceux qui lisent via des tablettes galerent tellement avec leurs 10 doigts qu'ils passent lire et ont la flemme de commenter souvent - bien compréhensible.
Des bisous du Dimanche !
Ah mais je ne pensais pas spécialement au week-end. je pensais à l'écho attendu après un message en général. Des bisous de la fin du dimanche !
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