Tout est bien à nouveau comme avant la trêve estivale. Le temps gris, pluvieux, la lassitude au travail, la messagerie qui dégueule, la multiplication des réunions, les carriéristes, la pression sur les résultats financiers, cette impression que la journée n'en finit pas, ce soulagement d'atteindre enfin le vendredi, cet agacement devant les prix et les taxes élevés et en hausse, cette médiocrité politique, la violence et les incivilités au quotidien et... Les insomnies.
J'irai retrouver mon petit parking vide à midi. Le silence et l'air frais pénétreront dans la voiture par les fenêtres entre-ouvertes. Je fermerai les yeux pour écouter les bruits étouffés, humer les odeurs de terre humide (il n'y a plus que ce parfum dans l'air) et sentir le vent sur mon visage.
Je constate avec inquiétude que j'ai maintenant besoin d'une coupure à la mi-journée. Et nous ne sommes qu'en septembre...
Et chez nous, au Pôle Nord, nous avons eu de la grêle cet après-midi !
RépondreSupprimerTe plains pas !
Et des réunions !
Et j'ai failli agrafé des trucs sur la tête de mon camarade Germain (j'étais plus zen sous médocs, faut que je me calme...)
C'est interdit d agrafer ces collègues...
SupprimerC'est interdit d agrafer ces collègues...
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