Lundi soir (ou étais-ce mardi ??) : Footing le soir, 1h.
Jeudi soir : Entrainement de natation, 1h.
Vendredi soir : Footing le soi, 1hr.
Samedi matin : Entrainement natation, 1h.
Samedi après-midi : Sortie vélo de route, 2h.
La sortie de trop…
Au total 50 et quelques km. Au début, j’ai
réussi à rester accroché au peloton. Mêmes les premières côtes. J’étais content
de moi. Et puis au bout de 30 km environ, au milieu d’une côte, plus rien. Plus
de pêche, plus de force, plus d’envie. Si l’envie d’arrêter, de rentrer.
Et puis, une crampe au mollet droit. Plus
possible de tirer sur les pédales (oui tirer, car on pousse mais on tire aussi
sur les pédales).
Une descente me permet de rejoindre le groupe.
Nouvelle côte. Crampe au mollet gauche. Je n’essaye
même plus de suivre. Je dis à mes camarades de continuer sans moi. Plutôt que de rentrer
par les petits chemins, je vais tirer droit, par la départementale. 17 km de
départementale et encore 5 km pour rentrer chez moi.
17 km seulement…
17 km pendant lesquels je me suis demandé si je n’allais pas
téléphoner à quelqu’un pour qu’il vienne me chercher. Oui mais qui ?
Vent de face, 4°, trempé de sueur, plus de
force. Les voitures qui me frôlent.
Infernale. Épouvantablement long. Plus jamais
le vélo. Trop dure.
J’ai encore froid. Je suis gelé.
Plus jamais le vélo… jusqu’à la prochaine fois !
Vive le sport !
RépondreSupprimerSandra